Au cours d’une conférence de presse animée mardi 6 mars, le président de cette de la FECOFA, Constant Omari Selemani avait éclairé la lanterne des journalistes sur la prime de Ndaye Mulamba, le recordman de la Coupe d’Afrique des nations (CAN).
Selon ‘‘l’homme moderne’’, la Confédération africaine de football (CAF) n’envoie jamais de l’argent pour Ndaye Mulamaba au titre de meilleur buteur de la CAN. Il a soutenu que c’est une distinction honorifique, au même titre que le ballon d’or Fifa dont le lauréat ne reçoit aucun sou. Il a ainsi démenti ainsi les rumeurs selon lesquelles la CAF enverrait de l’argent pour ce meilleur buteur (9 buts en 1974) de l’histoire de la phase finale de la CAN. Après avoir mené des investigations, l’homme moderne serait honnête ses dernières déclarations devant les professionnels de la presse. Notre source nous renseigne qu’il n’existe aucun statut sur la prime d’un meilleur buteur de la CAN. C’est une distinction honorifique, au même titre que le ballon d’or Fifa dont le lauréat ne reçoit aucun sou. Ce jour là, un Omari presque convaincant, a demandé à ceux qui ont des preuves contraires de les brandir devant l’opinion. Néanmoins, il a reconnu que la CAF avait offert une seule occasion à Ndaye pour assister à la CAN- Tunisie en 1994.
Par ailleurs il revient au gouvernent, la FECOFA de poser un acte louable à l’endroit de ceux qui ont hissé plus haut le drapeau de la RDC sur l’échiquier international. Sous d’autres cieux, les footballeurs qui ont honoré le pays sont récompensés par leur nation (Laurent Pokou et autre Gard Muller). Dans la ville d’Ashanti, au Ghana, certains stades portent les noms de vielles gloires ghanéennes. Il revient à la FECOFA de proposer des pistes de solutions pour que les vieilles gloires (Ndaya, Kalala, Kabamba et tant d’autes) soient honorées par leur nation. ‘‘C’est honteux de voir les hommes qui ont marqué l’histoire en football de traverser des moments critiques’’, a appuyé un amoureux du sport roi.