C’est en ces termes que s’est exprimé Mario Conti, DG de ce centre de formation des footballeurs, situé dans l’enceinte du complexe Tata Raphaël en pleine capitale de la ville de Kinshasa. ‘‘On ne peut pas
exiger des résultats escomptés à un footballeur, aussi longtemps que rien ne marche sur le plan social’’, a soutenu Mario Conti au cours de ce tête à tête. Dans le but de se distinguer des autres, les dirigeants de ce
centre mettent des moyens financiers conséquents pour permettre aux footballeurs d’être dans des meilleures conditions possibles.
Selon Mario Conti, ses protégés (évoluant au championnat d’élite de la capitale) ne possèdent pas des contrats de travail. C’est la FECOFA qui est à la base de blocage, sans en dire plus. ‘‘Malgré cela, les
joueurs de Ujana ne se contentent que des primes jusque-là, qui varient selon les matches’’, a révélé
Mario. Il a rassuré que tous les joueurs sont bien traités sur le plan social et promet de tout mettre en oeuvre pour que, dès que tout ira mieux avec la FECOFA, que tous les footballeurs signent leurs
contrats. Mario Conti a souligné que l’objectif principal, ce n’est pas remporter des titres (EPFKIN et autres LINAFOOT), c’est plutôt la formation des footballeurs.
Ujana parvient à se distinguer des autres au regard de son professionnalisme et sa rationalité en terme de formation. (source ufcongo.org).