Cette gestion catastrophique rappelle celle vécue, il a quelques années au DCMP. Les supporteurs exposent quatre griefs principaux. Primo, un groupe de gens depuis longtemps identifié a pris l’équipe en otage et font régner leur loi à l’absence du président Pascal Mukuna. Secundo, ce groupe emploie des méthodes vécues au DCMP pour chasser de ses fonctions tout celui qui s’opposerait à leurs injonctions ou ordres ou tout individu qui constituerait une barrière à leurs intérêts. Tertio, le même groupe utilise des kamikazes, supporteurs ou voire même les joueurs pour contraindre le coach à la démission. La démission de Zaher en est une illustration. Quarto, ce groupe ignore l’autorité du président de l’équipe et ose prendre des décisions à son absence. Allusion faite à Tresor Mukuna qui a présidé la réunion du lundi alors qu’il n’en avait pas qualité. A l’époque du DCMP, Maître Taureau avait convoqué une assemblée élective à l’hôtel Memling pendant que le comité Musanganya était en fonction. A cette allure, Renaissance est sur les traces du DCMP. Affaire à suivre.
Les supporteurs de Renaissance s’inquiètent
Ne dit-on pas que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Une frange de supporteurs de Renaissance du Congo tire la sonnette d’alarme quant à un certain nombre de préoccupations relatives à la gestion du club.