Les équipes se battent ardemment sur l’aire de jeu jusqu’à la dernière énergie. Au finish, c’est l’équipe qui a beaucoup de maturité qui remportera la marque par un score serré, ou soit les deux clubs se neutralisent (par des scores vierges). ‘‘Cette saison, le championnat est vraiment très disputé entre les sociétaires, comme jamais auparavant’’, a souligné Luzayamo, secrétaire sportif de l’AS Clic. Au regard de cette compétitivité, les sociétaires invitent les hommes en noir à l’impartialité tout au long de la saison pour que le champion de chaque division mérite son titre.
Mérite du titre
‘‘Rien ne sert d’avoir un champion fabriqué à la fin de la saison, le titre se mérite’’, a accentué Gazin Nsimba, conseiller de l’AS Espoir. Au niveau de l’EUFKIN-Kilimani, les arbitres souvent corrompus par les dirigeants faibles sont à la base des déboires de certaines équipes, voire même des dirigeants qui se coupent en mille morceaux pour encadrer la jeunesse. Les sociétaires souhaitent ainsi que les dirigeants de leur entité ouvrent l’œil des arbitres ‘‘Kamikaze’’. Une fois que les hommes en noir commettent les bévues, qu’ils soient sévèrement sanctionnés en vue de donner la leçon aux autres. Malgré tant de séminaires organisés par la Ligue de football de Kinshasa (LIFKIN) avant le début de chaque saison dans le but de respecter les 17 lois de jeu, les arbitres ne cessent de causer du tort aux clubs. Un arbitre a estimé qu’il ne gagne absolument rien à chaque match. La même source a soutenu que lors d’un match, on lui donne DCF 7000 à la fin. Comment alors résister devant un billet vert d’un dirigeant. Une mise en garde a été faite à tous les arbitres ‘‘kamikaze’’.
