Les dirigeants du DCMP, du TP. Mazembe et du VClub ont émis des messages de soutien au président sortant de la FECOFA alors accusé d’avoir baissé le niveau du football congolais. A Kinshasa, on accuse Antoine Musanganya, Moïse Katumbi et Gabriel Amisi de soutenir leur frère tribal en lieu et place des intérêts du football congolais. Les présidents de ces grands clubs ont vu leurs côtes de popularité baisser dans les rues de Kinshasa où une marche de protestation était organisée contre la Fecofa. On pouvait lire sur leurs banderole : ‘‘A dieu Constant Omari, casse-toi’’. ‘‘Ils tentent d’amener le tribalisme dans le football au lieu de proposer des pistes de solution, susceptibles à avancer le sport congolais qui se meurt’’, a déclaré un supporter de l’AS V Club. La FECOFA a violé son propre statut qui l’oblige à organiser son assemblée générale dans la ville où se trouve son siège. Les présidents du DCMP, du TP. Mazembe et VClub ne voient pas tout et souhaitent voir leur frère trôner à la tête de la FECOFA.
Les présidents des clubs trahissent
Selon un amoureux du ballon rond, on pouvait comprendre le soutien de Katumbi et Musanganya qui sont restés attacher depuis belle lurette au président de la Fecofa mais pas celui de Gabriel Amisi qui, au mois de février, avaient de démêlés. Tango Four s’est permis de louer le bilan d’Omari alors qu’il dénonçait les injustices dont son club était victime la saison passée. ‘‘Pendant le règne d’Omari, Mazembe a remporté 4 trophées (2 Ligues des champions et 2 super-coupe d’Afrique), le trophée de la première édition du CHAN, V Club et DCMP ont disputé les quarts de finale de la Coupe de la CAF’’, a salué contre toute attente Gabriel Amisi. La division est également perceptible au sein des anciens Léopards. Les uns (Ndlr : Kabasu Babo, Papy Kimoto, Serge Bageta) soutiennent Omari et d’autres sont contre de la gestion calamiteuse de l’Homme moderne. C’est le cas Ndaye et autres Mana Kroubondo. ‘‘Personnellement, je ne peux pas soutenir Omari qui passé son temps à tonner sur Baudouin Lofombo, après une participation critique de la RDC à la phase finale de la CAN junior disputée en Algérie’’, a soutenu un ancien Léopard. La presse n’est pas épargnée sur situation critique.
Loin de toute déontologie et éthique, certains journalistes préfèrent être subjectifs pour satisfaire la personne de l’‘‘homme moderne’’. Par contre, d’autres journalistes ne cessent de dénoncer au moment, il n’y a pas respect des textes de la part d’Omari et toute sa clique.