Il a soutenu que les joueurs n’ont pas de motivation, ils ne sont pas payés et ne jouissent d’aucun avantage en mouillant le maillot pour Makiso. A en croire, Adel, son équipe n’a même pas de terrain d’entraînement approprié et la préparation s’effectue avec trois ballons pour 15 joueurs sans équipements d’entraînement. Par manque des mecènes dans la ville martyre, Bijoux Lombeya, le président du club se bat seul pour faire vivre l’équipe, de sont côté le coach se coupe actuellement en mille morceaux pour que l’équipe se maintienne au championnat d’élite, rien de plus.
‘‘Nous luttons aujourd’hui pour notre maintien, si nous voulons bien poursuivre notre aventure dans l’élite, il suffit de gagner les quatre matches à domicile. On ne sait pas faire de miracle, notre seul espoir : qu’ils aient des gens forts autour du président pour encadrer ces jeunes joueurs de Makiso qui ont du talent’’, a accentué Adel.