Mazembe ne veut nullement s’éloigner de son objectif de la saison en Coupe de la confédération de la CAF. Après avoir réussi leur entrée en la matière face aux Congolais de l’AS Otohô, les Corbeaux de Lubumbashi veulent arracher les points à l’extérieur.
C’est depuis mercredi 16 février que le TP Mazembe, seul représentant RD-congolais encore en lice, a foulé le sol égyptien en prévision de son match contre Al Masry, prévu ce dimanche 20 février 2022 dans le cadre de la 2 ème journée de la phase des poules.
Le TP Mazembe, sera reçu ce dimanche 20 février au stade Borg El Arab stadium par les Aigles Verts d’Al Masry, comptant pour la deuxième journée du groupe C de la C2. Très décisifs, les poulains du coach Dumas veulent surprendre les locaux afin de conserver leur position de leader dans le groupe C.
Pour réaliser l’exploit, les coéquipiers d’Emmanuel Richard Edimo, buteur de Mazembe face à Otohô, pourront s’appuyer sur leur hold-up au pays de Mohamed Salah en 2015 quand ils avaient battu Smouha SC, 0-2 dans les mêmes installations. De son côté, Al Masry n’a pu faire mieux qu’un nul vierge face aux Camerounais de Coton Sport de Garoua, dimanche 13 février dernier au Cameroun. Un bon résultat pour les Verts et blancs de Port Saïd, qui viendront tambour battant rectifier les tirs dans son antre de 86.000 places assises.
Avant Mazembe, Al Masry a enregistré un nul de 1-1, jeudi 17 février à Alexandrie face à Ceramica Cleopatra. A la quête d’une victoire pour s’offrir à la 5ème position du championnat égyptien, le club que dirige Samir Halabia n’a pas atteint son objectif devant son public. À l’issue de cette affiche, les Aigles Verts occupent la 6ème place avec 14 points après 9 sorties.
Deux matches sans victoire, Al Masry pourrait peut-être foutre son prochain adversaire par terre pour une relance. Mazembe, quant à lui, a été « impressionnant» lors de la première journée de cete phase des poules à Kamal city devant les «Kali Otoko» d’Otohô, va aborder ce match avec beaucoup de sérénité dans le but de rentrer au pays avec ne fût-ce qu’une unité.
Aristote Pelly