La couverture médiatique de cet événement n’a pas été permise à tous les journalistes sportifs dans la mesure où il fallu bénéficier d’un badge pour avoir l’accès dans la salle et assister aux élections tenues dans les conditions déplorables. Les journalistes présents sur les lieux n’ont apprécié le comportement de Kayisa qui s’est permis d’accréditer les confrères en ne tenant compte des affinités. D’autres journalistes n’avaient pas droit d’accéder à ce rendez-vous des amoureux du ballon rond congolais.
Le fameux coupage
Le comportement de Kayisa n’a pas été apprécié dans les milieux des professionnels des médias étant donné que la plupart des journalistes accrédités à cette manifestation n’étaient autres que les ‘‘pros Omari’’. Ceux habitués à traiter l’information en toute objectivité n’avaient pas le droit de couvrir cette manifestation sportive. ‘‘Où allons nous avec cette sale habitude qui s’est érigée entre les journalistes alors que les loups sont censés ne pas se manger entre eux’’, a philosophé un chevalier de la plume. Quelques jours avant ce rendez-vous, un membre de cette commission avait exigé une motivation (Ndlr : une carte prépayée) à un journaliste d’un organe de la place pour qu’il puisse plaider auprès de Kayisa en vue d’être accrédité.
Mais, ce journaliste était catégorique vis-à-vis de cette sollicitation. Souvent, les choses se compliquent dans de telles manifestations en raison du fameux ‘‘coupage’’ qui intervient à la fin de la manifestation.